Fic : Le Héros d'Albion

Voilà que je n'ai, malheureusement, pas pu terminer. Mais elle possède quand même une cinquantaine de chapitres, soit environ 150 pages en format livre.

Je vais poster l'introduction. :thumleft:

Introduction :

Il y avait trois dieux : Gaziel, Vephar et Caym.
Chacun de ces trois dieux avait crée une partie du monde.
Gaziel créa la terre, les montagnes, les forêts, les plaines.
Vephar, lui, créa les océans, mers et rivières, les lacs.
Caym créa les êtres vivants, humains et animaux, qui peuplaient ce monde pour l´instant inconnu.

Un seul jour suffit aux trois dieux pour créer ce monde. Mais il y avait un problème : ce monde n´avait pas de nom.
Alors, comme le décida le premier humain créé par Caym, il fut nommé Albion. Ce même humain fut aussi appelé ainsi. Il fut le seul à avoir vu le visages des trois dieux.

Il fallut moins d´un siècle aux humains pour transformer Albion. Rapidement, on abandonna les habitations dans les arbres pour des maisons.Des chemins de terre furent tracés, des métiers inventés. Ce qui déçu les trois dieux, ce fut l´invention de la monnaie : la pièce d´or comme l´appelaient les humains.

Mais ce qui les boulversa encore plus, ce fut la naissance d´un enfant, prédestiné à être reconnu plus tard comme le plus grand héros de tout les temps...

Chapitre 1

" Cet enfant sera forcément un héros ! " disait Caym aux deux autres dieux. " Son père est guerrier et sa mère magicienne. Il n´y a aucun doute là-dessus!"
Les trois dieux se trouvaient dans leur palais : Le Palais des Dieux, qu´aucun humain n´avait pu trouver jusqu´à maintenant. Il se trouvait sur Albion, sur une petite île non-indiquée sur les cartes géographiques. " Et même si c´était un véritable héros, qu´est ce que ça changerait?"demandait Vephar. " Il pourrait tuer toutes ces créatures qui menacent les habitants, faire la justice, punir les criminels, ect..." - " L´ennui, c´est qu´on ne sait pas s´il sera plutôt du côté lumineux ou obscure. Bienfaisant ou malfaisant."disait Gaziel.

Pendant cette conversation, le père du futur-héros, Maevine, rentrait d´une bataille que lui et sa troupe avaient gagnés. Sur les 13 hommes qu´ils étaient, 4 ont survécu. Les 4 survivants marchaient donc en direction de leur village. Ils avaient emprunté un chemin qui bordait la forêt de la gauche et longeait la rivière par la droite.
Soudain, une pluie de flèches jaillit des arbres. Toutes atteignirent leur cibles. Les 4 hommes tombèrent. Un des archers, certainement le chef, sortit de la forêt pour aller voir les 4 hommes. Deux d´entre eux étaient morts, les deux autres agonisants. L´archer s´approcha de Maevine , encore vivant. " Qui...qui êtes-vous?" demandait Maevine a voix basse. " Je ne veux pas te dire mon nom. Cependant , je vais te dire ce pourquoi je veux te tuer, toi et ta troupe : tout simplement parce que vous avez tué un être qui m´étais cher.". Il banda son arc. " Hein? Mais qui?..." suffoquait le père.
" Mon frère."
TSHAK !

Pendant ce temps , dans le Palais des Dieux :

" Comment va-t-on être certain qu´il s´agira bien d´un héros?" - " Et bien, pour le savoir, il n´y a qu´une solution : lui imposer une mission." - " Mais laquelle?"
" Il devra.... nous trouver."

Chapitre 2

Kaysa, la mère du futur-héros, portait déjà dans son ventre l´enfant lorsque son mari est mort.

Dans le palais des Dieux :

" A votre avis, ce sera un garçon ou une fille?" demandait Vephar aux deux autres dieux.
" Je penche plutôt pour un garçon. Et toi Gaziel?"
" Hum...je ne sais pas. Dans tous les livres, on raconte l´histoire d´UN héros. Donc, moi aussi, je penche pour un garçon."
" ..., Ah, au fait Gaziel, tu avais bien parlé d´une mission pour le héros?"
" Oui. Et alors?"
" Oh, non, rien, je pensais juste que s´il serait vraiment le plus grand héros de tous les temps, il n´aurait aucun mal à nous trouver."
" Ne t´inquiète pas, j´ai déjà prévu quelques pièges sur sa route..."
" QUOI? Déjà? Tu ne perds pas de temps ! il doit naître dans un mois. Et s´il décide nous chercher vers l´âge de 20 ans? Tes pièges vont s´user."
" Les pièges d´un dieu sont éternels, sauf évidemment, si quelqu´un les détruis."
" Oui, tu as certainement raison. Et....quels genres de pièges?"
" Oh, de toutes sortes : des créatures, ect... . Chacun d´eux est très dangereux et mortels."

. ..

[Un mois plus tard...]

Comme l´avaient pensé les trois dieux, Kaysa donna la vie à un garçon.

Jusqu´à l´âge de 4 ans, l´enfant ne posa pas de question sur son père. Ce fut à l´anniversaire de ses 5 ans que la question tomba.
" Maman?"
" Oui?"
" Pourquoi les autres enfants ont un père et pas moi?"
" Heu...et bien... tu vois, ton père est allé au ciel alors que tu étais encore dans mon ventre. Il nous a quitté parce qu´il...heu...était malade. Voila."
" Malade? Hum...et il faisait quel métier?"
" Il était...heu...guide du village."
" Ah, d´accord."

Depuis ce jour, Aurion ( c´était le nom de l´enfant) n´alla plus à l´école : sa mère avait trop peur qu´il surprenne une conversation où ils parleraient de la véritable mort de son père.

C´était donc sa mère qui lui enseignait.

Mais un jour, l´archer revenu...

Chapitre 3

Mais un jour, l´archer revenu. Kaysa ouvra la porte.
" Oui? Que voulez-vous?"
" Accomplir ma vengeance."
Très rapidement, il banda son arc et décocha sa flèche en direction de Kaysa. La flèche se planta directement dans son coeur. Kaysa s´écroula.
Aurion avait assisté à la scène. Il était paralysé, à la fois par la haine et la peur. Des larmes coulaient sur ses joues. Il courut se cacher sous son lit et fit déborder la couverture pour mieux le camoufler. Il entendait les bruits de pas sur le plancher de la maison. Il souleva doucement la couverture : il voyait les pieds de l´archer dans la cuisine. Son visage était complétement trempé, non seulement par les larmes, mais aussi par la sueur. Il vit soudain les pieds de l´archer se retourner vers lui. Il baissa rapidement la couverture.
L´archer marcha lentement dans sa direction jusqu´à entrer dans sa chambre. Aurion ne pouvait pas voir où il était mais il pouvait l´entendre.
Soudain, les bruits de pas s´immobilisèrent. Aurion n´entendait plus rien.
. ..CRAK !
Une lame traversa le matelas pour se planter juste devant le visage d´Aurion.
< Gloups ! C´est pas passé loin ! > pensait-il.
La lame se souleva mais l´archer n´eut pas le temps de retenter le coup, qu´un cri d´effroi retentit soudain depuis l´entrée de la maison. L´archer ne prit pas de risque et s´enfuit par la fenêtre. Aurion put sortir du dessous du lit. Il sortit de sa chambre toujours les larmes aux yeux. Il s´approcha du corps de sa mère et vit qu´il y en avait maintenant un deuxième : celui de l´institutrice du village, pas morte mais évanouie. Aurion transporta sa mère pour la poser sur son lit. C´est en voyant son visage qu´il fondit en larmes.

Deux jours passèrent, durant lesquels Aurion pleurait la mort de sa mère et jurait de la venger. Il s´était fait une promesse : retrouver l´archer et le tuer. Il fit son sac de voyage, y rangea des fioles de santé que sa mère fabricait. Avant de partir, il voulu faire un adieu au village et à ses habitants. Il posa son sac et sortit de la maison.

Sur le chemin, il croisa un groupe de jeunes de son âge. L´un d´eux, particulièrement costaud, vint lui parler :
" Alors Aurion, toujours pas de papa? Ha ha ha ! !! Quel crétin ! Venez les gars, on s´casse ! "
Aurion fut soudain prit d´une rage qu´il n´avait jamais ressenti auparavant. Sans réflechir, il couru vers le costaud, préparant son poing droit avec élan. Le jeune se retourna en entendant les bruits de pas d´Aurion. Mais trop tard, le poing était déjà partit dans la mâchoire du jeune. Il y eut un bruit d´os cassés. Le costaud fut projeté à seulement un mètre, mais Aurion était quand même fier de lui : personne, à l´école, n´avait osé frapper le costaud auparavant, et Aurion l´avait fait !
Le groupe du costaud s´était reculé, surpris de cette force. Cependant, le costaud, lui, se releva et fit face à Aurion.
< Ah, je ne sais pas si je ferais le poids ! > pensait Aurion.
" Peuh, j´vais t´envoyer rejoindre ton père en enfer!" criait le jeune.
Ce dernier bondit sur Aurion, mais celui-ci fit un saut de côté et esquiva le coup. Il en profita que le costaud soit en mouvement pour lui envoyer un coup de pied dans les côtes. Le costaud tomba une deuxième fois. Il se releva difficilement. Cette fois-ci, il resta en position de défense. Aurion n´avait donc pas d´autre choix que d´attaquer. Il couru, le poing toujours prêt, et, alors que le costaud donnait lui aussi un coup de poing, Aurion se baisa rapidement et lui fit une balayette de toutes ses forces : le costaud s´écroula mais ne se releva pas. Il gémissait sur le sol en se tenant le dos.
" Aaaargh ! . ..occupez vous de lui les gars!"
Les 4 autres garçons s´approchèrent d´Aurion lentement.
< Cette fois-ci, c´est sûr, je ne fais pas le poids!>

Alors que le groupe se rapprochait, une dizaine de shurikens filèrent et se plantèrent juste devant les pieds des jeunes.
" N´approchez pas!" ordonna un jeune garçon étranger.

Chapitre 4

" N´approchez pas ! " ordonna le jeune garçon étranger.
Il était aussi grand qu´Aurion mais paraîssait beaucoup plus entraîné. Personne ne semblait le connaître dans le village. Personne ne pouvait dire d´où il venait exactement : il était blond aux yeux marrons. Il portait deux étuis à shurikens sur chaques jambes et un habit étrange qu´on ne portait que dans les îles du Sud.
Le costaud se releva :
" T´es qui toi, pour parler à mes potes comme ça?"
" Ne me parles plus sur ce ton."
" Ah oui? Et qu´est ce que tu vas me faire?"
L´étranger se mit à courir à une vitesse jamais vu. En moins de 2 secondes, il était derrière le gros costaud et lui mit un shuriken sur la gorge.
" Dis à tes potes de s´en aller, ou je te tranche la gorge."
" O...Ok ! Allez les gars, partez ! ..."
Les quatres jeunes s´en allèrent rapidement.
" Maintenant dis moi pourquoi tu as ordonné à tes potes de l´attaquer alors qu´ils étaient quatre? Tu as perdu le combat contre lui, non?"
" Heu...oui...mais..."
Il n´eut pas le temps de finir sa phrase : le poing de l´étranger partit comme l´éclair. Le costaud fut cette fois-ci projeté à 10 mètres.
< Wooaw, quelle vitesse et... quelle force ! > pensait Aurion.
Le costaud ne se releva pas, ni ne gémit : il était évanoui.
L´étranger s´approcha d´Aurion.
" J´ai vu la scène de loin. Pourquoi tu l´as frappé?"
" Il m´avait dit quelque chose qui ne m´avait pas plu."
Là aussi, le poing de l´étranger partit, mais moins fort : Aurion ne fut projeté qu´à deux mètres.
" TU ES FOU DE T´ATTAQUER A 5 GARS TOUT SEUL ! "
" Aïe...mais toi aussi, avec tes shurikens..." gémissait Aurion.
" Moi, ce n´est pas pareil : j´avais la possibilité de les battre, pas toi. Hum... comment tu t´appelles?"
" Aurion... et toi?"
" Je suis Krosia."
" Tu viens d´où?"
" Hum, je suis né dans les îles elfes du Sud, mais à part ça, je ne viens de nulle part."
" Nulle part? Comment ça?"
" Je suis un Nomade-Elfe. Je bouge tout le temps en tuant toutes les personnes hostiles qui se dressent sur ma route."
" Et tu marches vers où? Tu as bien un objectif, non?"
" ...Pas vraiment, je vais là où je veux."
" Et c´est ce mode de vie qui t´as rendu fort?"
" On peut dire ça comme ça. Et toi?"
" Quoi?"
" Tu en as un, objectif?"
" Heu, oui, mais je préfère le garder pour moi."
" Allez, dis le moi ! "
" Bon, heu...je voudrais retrouver une personne et la..."
" Tuer?"
" Heu... oui, c´est ça."
" Et qu´est ce qu´elle t´as fait cette personne?"
" Elle a . .. tué ma mère."
" Oh... heu... si tu veux, je peux t´accompagner. Vu que je suis nomade, je peux venir avec toi, non? Et en cours de route, je t´apprendrais des techniques de combat."
" Hum... c´est d´accord ! "
" Et cette personne."
" Oui?"
" Elle est forte? Elle se bat bien?"
" Oui, il semble très fort."
" Ah, donc il va te falloir beaucoup d´entraînement. Allez, prépare ton sac, on part quand tu veux."
" Je l´ai déjà fait on part maintenant?"
" Si tu veux ! "

Aurion rentra chez lui, prit son sac et partit.
Il s´était fait un ami, son premier ami : Krosia, qui l´aiderait dans sa quête.
La route serait longue jusqu´à ce qu´il trouve l´assassin de sa mère.
Mais ce qu´il ne savait pas, c´était que cet assassin était aussi celui de son père.
Aurion avait maintenant 11 ans.

Chapitre 5

C’est ainsi qu’Aurion et Krosia partirent tous les deux à la recherche de l’archer.
Ils marchèrent ainsi en parlant de leur style de combat, ect… Vers 19h le soleil se coucha. Ils décidèrent donc de se reposer dans un clairière en attendant le lendemain. Ils allumèrent un feu : il était 19h30. Ils mangèrent rapidement et, juste après, Krosia lui expliqua les différentes attaques possibles avec une dague. Ils s’entraînèrent ainsi jusqu’à 22h. Là, Krosia fit une proposition à Aurion :
« Bon, nous allons tirer à la courte paille. Celui qui tire la brindille la plus courte va monter la garde en premier, c´est-à-dire de maintenant à 3h00 du matin. Ensuite, l’autre fera la relève jusqu’à l’aube. Ok ? »
« D’accord ! »
Krosia sortit ses mains de derrière son dos. Il fit dépasser deux brindilles de ses doigts.
« Choisis en une ! »
« Hum…celle-là ! »
Aurion tira une brindille : elle était longue.
« Grmbl… bon, j’le fais en premier ! » râla Krosia.
Alors qu’il commençait à monter la garde, Aurion se glissa dans sa couverture et, quelques minutes plus tard, s’endormit.

[…]

« Hé ! Réveille-toi ! D’après la position de la Lune, il est environ 3h du matin ! »
Aurion ouvrit les yeux.
« Hmm….oui, j’y vais… »
Il se leva difficilement, s’étira, prit sa dague et monta la garde. A peine Krosia avait-il fermé les yeux qu’il s’endormit. Aurion montait toujours la garde. Il n’était plus fatigué. Il regardait autour dee lui, écoutait : personne. Il voyait la Lune baisser lentement, mais le soleil ne venait toujours pas. La luminosité baissait : il cassa une branche et alla l’enflammer grâce au feu de camp. Toujours rien de suspect…

[…]

Enfin, le soleil se leva. Il était 8h. Aurion alla réveiller Krosia.
« Hé ! Debout ! Le soleil s’est levé ! On continu notre chemin ! »
« Hm…oui, voila, j’arrive… »
Il s’habilla en vitesse.
« Alors ? Aucun problème ? »
« Non, pas un bruit pendant toute la nuit. »
« Hum, nous aurons peut-être moins de chance la nuit prochaine. »
Ils défirent le camp et se remirent en route.
« Dans environ deux de marche, nous devrions arriver à Mirari. » dit Krosia.
« Mirari ? Qu’est-ce que c’est ? »
« C’est une ville-marchande. Pas beaucoup d’habitations, mais énormément de magasins, auberges, tavernes, ect… »
« Super ! On va pouvoir s’acheter de l’équipement ! »
« Ah ? Tu as de l’argent ? »
« Heu…non. »
« Bah, moi non plus, mais c’est pas grave, à Mirari, il y a pleins de moyens de s’en faire. »
« Quoi, par exemple ? »
« Ben, il y a l’aide-aux-marchands : ça consiste à aider les marchands dans leur tâche en transportant leur caisses de marchandises, ect… de les aider, quoi ! »
« Et quoi d’autre ? »
« Il y a les combats-à-parier : tu montes dans l’arène, tu te bats et si tu gagnes, tu empoches l’argent. »
« Et si on perd ? »
« Ben, c’est toi qui paye… »
« Et puisqu’on a pas d’argent, il va d’abord falloir aider les marchands. »
« Oui, c’est ça. »
« Ok, donc, direction : Mirari ! »

Chapitre 6

« Prochaine destination : Mirari ! »
Sur le chemin de la ville-marchande, Aurion pensait aux achats qu’il allait faire.
< D’abord, j’achèterais une cuirasse, puis un bouclier et enfin des jambières ! Je vais ressembler à un vrai guerrier ! Ah oui, il me faudra aussi un casque et des épaulières ! >

Après une heure de marche :

« Bon, nous arriverons à Mirari dans une heure de marche environ. Rappelle-toi : d’abord les marchands, ensuite les combats. Il ne faudra perdre aucun combat, sinon on va être ruiné ! »
« Et si on se bat contre des adultes ? »
« Il y a 90% de chance qu’on se batte contre eux. C’est pourquoi je vais t’entraîner aux combats à mains nues. »
« QUOI ? ! On aura pas droit aux armes ? »
« Bien sûr que non ! Il ne faut aucun mort, que des évanouis. Bon, tu es prêt pour l’entraînement ? »
« Oui, allons-y ! »
« Ok, tu vas d’abord t’entraîner contre cet arbre : frappe de toutes tes forces dans le tronc. »
« Mais j’vais me briser le poing ? ! »
« FAIS CE QUE JE TE DIT ! !! »
« Bon, bon, ok… »
Aurion se plaça face à l’arbre. Il prépara son poing avec élan et…
« ATTEND ! »
« Huh ? Quoi encore ? »
« Tiens, entoure ton poing avec ça. »
« Qu’est-ce que c’est ? »
« Une petite corde fine, mais solide. Avec ça autour du poing, tu te feras moins mal. »
« Ah, merci ! »
Aurion prit la corde et la fixa autour de son poing. Il se plaça en face du tronc et…
POK !
« AÏÏÏÏÏÏÏÏE ! !! »
« Mouais pas terrible : regarde ! »
Krosia entoura lui aussi son poing d’une corde et s’approcha du tronc.
CRAAAC ! !!
Une grande fissure apparue sur le tronc.
< Quelle force ! ... pour son âge…> pensait Aurion en fixant la fissure des yeux.
« Ton problème, c’est que tu mets toute ta force au début ; il faut que tu la concentre au moment de l’impact. Et sois rapide. »
« Hum, je vais réessayer ! »

…CRRRK ! !

« Aïïïïe ! »
« Aaah, c’est beaucoup mieux ! Fais-le 10 fois par poing et ensuite on verra le coup de pied. »
A la fin des 20 coups de poing, les mains d’Aurion étaient complètement rouges, et elles saignaient. Krosia les soigna rapidement et reprit :
« Bon, maintenant les coups de pied ! Envoi ton coup de pied sur le côté du tronc de façon à ce que tu casses les côtes de ton adversaire. »
« Ok ! Je mets des cordes ? »
« Non, là tu gardes tes chaussures. »
« D’accord, bon, j’y vais ! »
Comme lui avait dit Krosia, Aurion associa force et rapidité au moment de l’impact.

CRAAAC ! !!

« Ouaïe ! »
« Super ! Tu as légèrement fissuré le tronc ! Un coup comme ça sur une cible vivante lui cassera les côtes, mais que partiellement.Allez, fais-moi deux séries de 10 ! »

[…]

« Bon, tu as fini l’entraînement. Nous pouvons continuer ! »
« Ouais ! » dit Aurion complètement essoufflé.
« Ah, au fait, pendant que tu t’entraînais, j’ai rapidement écris sur un papier quelques techniques utiles, regarde ! »
Aurion prit le papier et lut :

« Quelques techniques de base pouvant t’être utile pendant un combat :
- Un violent coup avec la paume de la main sur la poitrine de ton adversaire ne lui infligera pas beaucoup de dégâts mais le projettera loin.
- Si tu pares le coup de ton adversaire et que tu contre-attaques directement, il y a très peu de chances qu’il esquive vu qu’il sera sous l’effet de surprise.
- Pense à utiliser tes coudes et genoux : ceux sont les parties les plus solides du corps et pouvant donc infliger beaucoup de dégâts. »

< Si j’utilise tout ce qu’il m’a apprit, je gagnerais ! ...> pensa-t-il.

« La voila ! La ville-marchande : Mirari ! »

salut, j'ai déjà lu cette histoire sur jeuxvideo.com, mais je voudrais savoir si tu va la continuer.

si les idées me prennent, oui, je pense que je pourrai la continuer, mais pas sur jv.com, que ici.

J'attends avec impatience alors !

:merci: :1er:

Tu post la suite ?

on verra plus tard... :oui:

La légende :prie: ^^

:rire:

;-)

Y a quelqu'un ?

Oui, je suis là. ;-)

moi aussi :coucou:

Ok !

Dis, RPG player 2, comment on fait pour avoir une image sous son pseudo?

Tu vas dans profil et c'est ton avatar.

Mais comment on fait pour avoir une image. Ca change rien que j'aille voir mon avatar.

va dans ton profil.en bas de la page ya une section nommé : panneau avatar. tu devrai voir un icône *parcourir*. tu clic dessus pi tu choisi une image de ton ordi.